devant son garage.
1949
Ovide St-Onge, garagiste à la retraite de Saint-Louis-de-France, près de Trois-Rivières, constate que sa propre auto est attaquée par le « cancer du métal » : la rouille. Il met à profit ses nombreuses années d’expérience dans le secteur de l’automobile pour inventer un remède : un antirouille à base d’huile minérale. Le garagiste retraité construit une rampe de traitement, mais il ne suffit pas à la demande. Vite, il appelle alors ses deux fils à la rescousse.
1975
Ovide St-Onge passe le flambeau à ses fils, Bruno et Laurier. Ils fondent Antirouille Métropolitain. Le règne malheureux de la rouille vient alors de prendre fin... Cet automne-là, c’est la folie furieuse : pas moins de 1 300 clients ressortent du petit garage familial avec leur véhicule bien protégé contre la corrosion.
1976
Les deux frères associés ouvrent une deuxième succursale, située dans la ville de Québec. Encore une fois, le succès est au rendez-vous.
1981
avant l’installation de l’élévateur.
1982
Ils font construire une succursale à Longueuil puis, deux ans plus tard, une autre à Laval. Au fil des ans, sept autres succursales permettront à plus de gens de profiter du remède antirouille.
1984
Au tournant du nouveau millénaire
Association avec des partenaires scientifiques
Loin de se reposer sur leurs lauriers, les dirigeants d’Antirouille Métropolitain décident de rendre leur produit encore meilleur. Ils concluent un partenariat avec l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) et le Centre de recherche industrielle du Québec pour plusieurs programmes de recherche, auxquels ils consacrent des investissements majeurs ainsi qu’une subvention obtenue du Centre national de recherche du Canada.
Laurier, l’un des deux frères associés, décide de céder ses parts à son frère. Ainsi, Bruno devient le président d’Antirouille Métropolitain. L’entreprise reste dans la famille!
2000
Antirouille Métropolitain poursuit les recherches à l’UQTR ou en collaboration avec d’autres partenaires scientifiques afin de demeurer à l’avant-garde du marché.
2000-2003
L’entreprise commence à offrir son traitement aux camions, camionnettes et véhicules lourds ou récréatifs ainsi qu’aux parcs de véhicules institutionnels et commerciaux. Ce service est donné à la succursale d’Anjou, qui a été spécialement adaptée pour les recevoir.
2003
La nouvelle succursale de Sherbrooke permet de faire l’essai d’un nouveau service : un lave-auto « libre-service ».
2006
Bruno St-Onge décide de confier les rênes de l’entreprise à une nouvelle génération. Son fils Jean-Luc St-Onge devient membre de la direction.
2008
Pendant près de 40 ans, toute la gestion de l’entreprise s’est faite à partir du garage familial, puis de la maison ancestrale des St-Onge. Comme la maison est devenue trop petite pour l’entreprise en pleine expansion, la direction inaugure le 11 juin un siège social tout neuf.
2013
Antirouille Métropolitain a le vent dans les voiles! L’entreprise prévoit ouvrir de deux à trois succursales par année dans un futur proche, un rythme de croissance soutenu fort appréciable pour une entreprise presque quadragénaire qui reste à la fine pointe de la technologie automobile.
2014